jeudi 13 septembre 2018

Intelligence Artificielle à contre-pente

C. Lagarde -FMI- dit qu'elle se méfie des effets

de l'intelligence artificielle sur l'emploi — mais

 elle n'a pas de solution unique pour tous les pays.

MAIS L'ESSENCE DE L'INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
C'EST PLUS DE L' HERMENEUTIQUE DONT L'APPROCHE,
CE SERAIT VERS UNE MUTUALISATION DE DEEP LEARNING
POUR IDENTIFIER, LOCALISER ET RENDRE LA 
"COMPREHENSION DU MONDE" PAR L'ANALYTIQUE 
DIGITALE QUE S'Y ENGOUFRENT DEJA LES MAJORS
DE LA TECHNOLOGIE ET LES START-UP. 
POUR L'HEURE, L'INTELLIGENCE ARTIFICIELLE PERMET 
L'AMELIORATION DES TECHNIQUES DE REPRESENTATIONS,
ET DE SHOW-ROMS  DE LA "REGULARITE"  -DE L'ECONOMISTE
JOHN NASH-  DE L'OFFRE OU DE LA RECHERCHE SANS ETAT 
D'AME POUR "L'ENTROPIE" DES STATISTIQUES MONDIALES
OU  POUR LES OPPORTUNITES FINANCIERES ET CONCURREN-
TIELLES QU' ELLE POURRAIT METTRE EN LUMIERE."  
voir article sur l'expérience immersive (RA/RV/Vidéo 360°)
Bien que l'Intelligence Artificielle soit  le seul nom pour des
Deep Learning s'étendant dans tous les domaines, ce qui 
n'échapperait pas au biais "d'amplification et de réplication"
des erreurs indépendantes selon le théorème de la limite 
centrale ou loi des erreurs, qui auraient un lien avec l'énoncé
de l'inégalité de Shannon Stam en théorie de l'information 
(au niveau de ré-évaluation de l'optimisation et de l'entropie de
tout objet physique). Pourtant un autre théorème, celui
de Bayles résoudrait bien des incertitudes par l'intuition des
probabilités comme le montre ce dessin -by the courtesy of 
Laurent Bourrou in Quora's article- :

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