C. Lagarde -FMI- dit qu'elle se méfie des effets
de l'intelligence artificielle sur l'emploi — mais
elle n'a pas de solution unique pour tous les pays.
MAIS L'ESSENCE DE L'INTELLIGENCE ARTIFICIELLEC'EST PLUS DE L' HERMENEUTIQUE DONT L'APPROCHE,CE SERAIT VERS UNE MUTUALISATION DE DEEP LEARNINGPOUR IDENTIFIER, LOCALISER ET RENDRE LA"COMPREHENSION DU MONDE" PAR L'ANALYTIQUEDIGITALE QUE S'Y ENGOUFRENT DEJA LES MAJORSDE LA TECHNOLOGIE ET LES START-UP.POUR L'HEURE, L'INTELLIGENCE ARTIFICIELLE PERMETL'AMELIORATION DES TECHNIQUES DE REPRESENTATIONS,ET DE SHOW-ROMS DE LA "REGULARITE" -DE L'ECONOMISTEJOHN NASH- DE L'OFFRE OU DE LA RECHERCHE SANS ETATD'AME POUR "L'ENTROPIE" DES STATISTIQUES MONDIALESOU POUR LES OPPORTUNITES FINANCIERES ET CONCURREN-TIELLES QU' ELLE POURRAIT METTRE EN LUMIERE."voir article sur l'expérience immersive (RA/RV/Vidéo 360°)Bien que l'Intelligence Artificielle soit le seul nom pour desDeep Learning s'étendant dans tous les domaines, ce quin'échapperait pas au biais "d'amplification et de réplication"des erreurs indépendantes selon le théorème de la limitecentrale ou loi des erreurs, qui auraient un lien avec l'énoncéde l'inégalité de Shannon Stam en théorie de l'information(au niveau de ré-évaluation de l'optimisation et de l'entropie detout objet physique). Pourtant un autre théorème, celuide Bayles résoudrait bien des incertitudes par l'intuition desprobabilités comme le montre ce dessin -by the courtesy ofLaurent Bourrou in Quora's article- :
jeudi 13 septembre 2018
Intelligence Artificielle à contre-pente
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